Livre II de l'Ordre des Blancs Manteaux

Livre II de l'Ordre des Blancs Manteaux

LES REGLES D’OR DE L’ORDRE DES BLANCS MANTEAUX.

Quiconque voudra bien lire et chercher,
Pourra trouver écrite dans de vieux livres,
L’histoire de notre Ordre,
Ce furent de Grands Seigneurs et Dames,
Qui étaient certes promis a de grands destins,
Pourtant ils décidèrent pour le bien de leurs enfants,
Comment ils pourraient mieux mener leur vie,
Sans grand inconfort, ni souci ni lutte,
Et nous les prions, pour l’amour de notre Seigneur,
Ils furent envoyé chercher de par le monde La Vérité,
En ce temps là,
Fut constitué et crée notre Ordre,
Ils lui donnèrent le nom d’Ordre des Blancs Manteaux,
Sur la prière de ces seigneurs ils inventèrent l’Art de la Guerre mêlé a l’Art de la Prière.
Et Celui qui dans la Prière dépassait les autres,
Devait être plus honoré que le dernier,
Car sa foi était grande et il était honnête,
On l’appelait de différents noms, Azrael, l’Angélus, Siritten,
Son nom se répandait fort loin,
Pourtant ce seigneur ordonna a ceux qui étaient le plus élevé dans les grades de l’Ordre,
Qu’ils devaient enseigner les plus simples d’esprits et les plus pauvres,
Et ils devaient s’instruire les uns et les autres afin de protéger le faible du fort.
Il ordonna également qu’au sein de l’Ordre parmi eux tous,
Ni sujet ni serviteur, seulement des frères et des sœurs,
Même si un était moins parfait qu’un autre.
« Chacun appellera les autres compagnons par amitié,
Car ils sont nés de nobles dames ».
De cette manière commença l’Ordre des Blancs Manteaux,
Le seigneur Azrael le fonda ainsi,
Dans divers pays de tous cotés,
Pendant de nombreuses années,
Il fit construire alors tant manoir que même bosquet,
Et de hauts temples et couvents de grand renom,
Pour y prier le jour comme la nuit,
Il envoya a travers les empires,
Dires a tous les seigneurs de venir vers lui sans délai,
Pour amender leurs défauts a tous,
Par bon conseil autant que possible,
Une assemblée alors il réunit,
De divers seigneurs en leur rang,
Rois, ducs, comtes et barons aussi,
Chevaliers, écuyers et maintes autres,
Ils étaient tous là chacun à son rang,
Ils étaient là tous ensemble,

Pour établir les Statuts et Devoirs Moraux de Notre Ordre.


Premier Devoir:

Le moine BM doit être digne de confiance,
A la fois constant, loyal et vrai,
Il ne l’aura alors jamais à regretter.
Tu dois payer tes Frères selon le cours,
Des victuailles, tu le sais bien,
Et paie les justement et de bonne foi,
Ce qu’ils peuvent mériter.
Et évite soit par amour soit par crainte,
D’aucunes des parties d’accepter des avantages,
Du seigneur ni du Frère, qui que ce soit.
D’eux tu ne prends aucune sorte de paiement,
Et en juge tiens toi intègre,
Et alors aux deux tu rendras leur bon droit.
Et véritablement fais ceci où que tu ailles,
Ton Honneur, ton profit, sera le meilleur.

Second Devoir :

Que tout moine, qui est Frère BM,
Doit assister au rassemblement général,
Pour que précisément il lui soit dit,
Le lieu où l’assemblée se tiendra.
Et à cette assemblée il doit se rendre,
Sauf s’il a une excuse raisonnable
Pour qu’il ne puisse venir parmi eux.
Et cela est un excuse bonne et valable,
Pour cette assemblée, si elle est sincère.

Troisième Devoir :

De ne pas prendre un Malhonnête comme Frère,
Car cela pourrait faire beaucoup de désordre,
Et un pareil cas pourrait arriver,
Que cela pourrait chagriner certains, ou tous.
Car tous les Frères du Monastère,
Se ensemble se tiendront réunis,
Si un tel dans Notre Ordre demeurait,
De diverses désordres vous pourrez parler,
Alors pour plus de paix et honnêteté,
Prenez un Frère de meilleur condition,
Dans d’Ancien écriture je trouve,
Que le Frère doit être d’Esprit Noble,
Et cela est une chose très bonne.

Quatrième Devoir :

Et celui là vaut pour tous les Frères,
Qu’aucun Frère ni par faveur ni par crainte,
Ne doit vêtir ni nourrir aucun voleur,
Des voleurs il n’en hébergera jamais aucun,
Ni celui qui a tué un homme,
Ni celui qui a mauvaise réputation,
De crainte que cela fasse désordre à l’Ordre.

Cinquième Devoir :

Ce que Notre Ordre a le droit de faire,
S’il accepte un Frère,
Et qu’il ne soit pas aussi parfait qu’il le devrait,
Il peut le remplacer sans délai,
Et prendre à sa place un Frère plus parfait,
Car un tel homme par imprudence,
Pourrait faire déshonneur à l’Ordre.

Sixième Devoir :

Que le Frère doit être sage et fort,
Qu’il n’entreprenne aucune quête,
Qu’il ne puisse achever et réaliser,
Et que ce soit aussi au profit de Ses Frères,
Ainsi qu’à Son Ordre, où qu’il aille.
Comme il est dit,
Que les fondations soient bien construites,
Pour qu’il n’y ait ni fêlure ni brèche.
Et que parmi tous dans l’Ordre, grands ou modestes,
Qu’aucun Frère ne doit supplanter un autre,
Mais être ensemble comme frère et sœur.

Septième Devoir :

Pour tout Frère, où qu’il se trouve,
Il ne doit pas déprécier l’œuvre de Ses Frères,
S’il veut sauvegarder son honneur,
Avec des paroles honnêtes il l’approuvera.
Car pour Son Frère il est un ami,
Pour lui enseigner qu’envers aucun homme,
Il ne doit adopter un comportement faux,
Ni suivre Ses Frères dans leur erreur,
Quelque bien qu’il puisse y gagner,
Ni souffrir qu’ils fassent de faux serments,
Par souci de leurs âmes,
Sous peine d’attirer sur l’Ordre la honte,
Et sur lui-même un blâme sévère.